Le libéralisme malade du coronavirus

Une violente et destructrice crise sanitaire affecte la planète. Pour le coup les fanatiques de la mondialisation heureuse sont servis ! Ce 22 mars, Dominique Delahaye, qui tient la chronique du Mécréant dans Combat laïque 76, nous a fait parvenir son sentiment à ce sujet brûlant dans un texte dont le titre réveille quelque lointain souvenir scolaire qu’on doit à Jean de la Fontaine à propos de la peste qui « faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés ».

L’heure est grave, bien sûr. L’heure est à la mobilisation de chacun, à la prise de conscience de la nécessité des gestes que nous pouvons tous faire, des consignes de sécurité draconiennes que nous devons tous respecter.
L’heure est aussi aux grands discours.
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